jeudi 3 juillet 2008

Départ du château et arrivée en Andorre.

Samedi 31 mai

Samedi matin, nous partions tous chacun de notre côté.

Félix partait pour Fribourg afin de prendre l'avion le lundi suivant, en direction de Montréal. Du coup, il reconduisait Mariette, ma grand-maman, à Toulouse où elle rencontrait une amie, plus tard elles se dirigeraient vers la côte Atlantique. Mon oncle Michel et son amie Danielle partaient en train en direction de Barcelone. Mes parents et moi partions vers Barcelone en voiture par les Pyrénées et l'Andorre.

La route jusqu'à Andorre-la-vieille nous a offert de merveilleux paysages montagneux (et frisquets). En voiture, nous sommes passés par des hauteurs de 2000 mètres d'altitude. En Andorre, nous y avons croisé un village touristique alpin, une station de ski qui ne fonctionne pas l'été et (ce qui nous peut-être le plus marqué) de l'essence vraiment pas cher... pour l'Europe.

L'Andorre est une principauté située dans les Pyrénées entre l'Espagne et la France. La principauté d'Andorre est un des plus petits États au monde et existe depuis l'époque de Charlemagne. Au XXe siècle, l'Andorre est sorti de son isolement et est devenu une destination touristique réputée pour ses pistes de ski et surtout sa fiscalité avantageuse. De plus, la principauté d'Andorre est le seul État dont la langue principale est le Catalan.

J'ai manqué notre entrée dans Andorre la vieille, capitale de l'Andore, car je dormais. Au premier coup d'œil (et pour une présence de moins de 24 heures), ce qui m'a frappé est l'omniprésence, tout autour de la ville, de hautes montagnes très rapprochée. Nous nous trouvions vraiment dans une petite vallée. Le côté patrimoine, vaut mieux ne pas essayer de le chercher. Tout semble très récent, du petit magasin au grand hôtel. Pendant notre courte marche, nous avons pu dénombrer une quinzaine de grues sans faire le moindre effort. Bref, Andorre la Vieille m'a donné l'impression d'être composée de deux imposantes rues commerçantes, parsemées d'hôtels 5* enclavées par de hautes montagnes. Sur ces rues commerciales, nous y avons trouvé de tout; beaucoup d'électronique et des vêtements de grandes et de plus petites marques.

Malgré le faible taux de taxation, nous n'avons pas remarqué que les prix de diverses marchandises, à l'exception de l'essence, étaient plus bas qu'ailleurs.Nous sommes rapidement retournés vers l'hôtel car nous étions fatigués et surtout parce que ma mère ne se sentait pas très bien. Dehors, la ville a été très animée jusqu'aux petites heures du matin.


2 commentaires:

Marthe Baril a dit…

wow quelles belles montagnes encore couvertes de neige. Est-ce une église qui ressemble à un pavillon. Et Josée s'est rétablie?
Très belle ville.

Y - M

Myriam a dit…

Ce n'est pas une église, je crois que c'est un centre de spa et bains thermaux, mais je suis pas certaine.
Ma mère s'est bien rétablie même si le lendemain elle n'avait pas trop faim ni trop envie de boire de la bière ;-)